Olivier Debré
- Sommaire:
- 0.1 Œuvre.Pendant une première période, Olivier Debré peint des tableaux noirs qui sont traces des horreurs de la guerre (le Mort de Dachau, l’Assassin et la mort, 1944-1945). Puis, sur le chemin de l’abstraction, il vient à des «signes paysages» ou des «signes personnages». À partir de 1962, ne subsiste dans son œuvre que l’indication de la source d’inspiration, du point de départ. Il s’attaque à des formats gigantesques. Il peint all-over des toiles presque monochromes, ponctuées de quelques taches d’autres couleurs, parfois structurées de touches obliques ou verticales. Il travaille l’espace – «la peinture n’est que du temps devenu espace» -, l’émotion – «J’ai toujours peint des sourires.» Il qualifie ses compositions informelles de «ferventes» et déclare que cette peinture dite abstraite est le reflet exact du réel ressenti». Il exécute des commandes publiques dans le monde entier: rideaux de scène de la Comédie-Française (1984-1987), de l’Opéra de Hong Kong (1989) ou de Shanghai (1998).
- 0.2 Propos de l’artiste.«Je nourrissais des couleurs, un signe imaginaire, où j’extrayais de la réalité vécue l’essence et le principe, l’essentiel de l’émotion. La couleur agissant par elle-même allait bientôt s étaler sur la toile, déborder les rectangles rigides et le signe devenir espace ; le geste, la trace du temps, transposition du vivant.»
- 1 Vidéo : Olivier Debré
Œuvre.Pendant une première période, Olivier Debré peint des tableaux noirs qui sont traces des horreurs de la guerre (le Mort de Dachau, l’Assassin et la mort, 1944-1945). Puis, sur le chemin de l’abstraction, il vient à des «signes paysages» ou des «signes personnages». À partir de 1962, ne subsiste dans son œuvre que l’indication de la source d’inspiration, du point de départ. Il s’attaque à des formats gigantesques. Il peint all-over des toiles presque monochromes, ponctuées de quelques taches d’autres couleurs, parfois structurées de touches obliques ou verticales. Il travaille l’espace – «la peinture n’est que du temps devenu espace» -, l’émotion – «J’ai toujours peint des sourires.» Il qualifie ses compositions informelles de «ferventes» et déclare que cette peinture dite abstraite est le reflet exact du réel ressenti». Il exécute des commandes publiques dans le monde entier: rideaux de scène de la Comédie-Française (1984-1987), de l’Opéra de Hong Kong (1989) ou de Shanghai (1998).
Propos de l’artiste.«Je nourrissais des couleurs, un signe imaginaire, où j’extrayais de la réalité vécue l’essence et le principe, l’essentiel de l’émotion. La couleur agissant par elle-même allait bientôt s étaler sur la toile, déborder les rectangles rigides et le signe devenir espace ; le geste, la trace du temps, transposition du vivant.»
Vidéo : Olivier Debré
Vidéo démonstrative pour tout savoir sur : Olivier Debré
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